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Alfa Romeo 145

Alfa Romeo 145

Dates clés

  • Commercialisation : août 1994 à octobre 2001 - Retouches : mars 1997
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En bref

Troisième et dernière voiture de la lignée des petites berlines Alfa avec moteur 4 cylindres "à plat", cette 3 portes aux allures assez sportives s'obtient aujourd'hui à petits prix. Née avec l'architecture mécanique de ses aînées, elle a mué en cours de carrière en adoptant des moteurs à 4 cylindres plus classiques mais finalement plus agréables aussi. Dans sa définition technique, la voiture a incontestablement vieilli. Mais elle peut encore faire vibrer le cœur des alfistes par son rattachement à la tradition maison. Sa carrosserie 3 portes a aussi été déclinée en 5 portes, et elle prend alors l'appellation 146.

Caradisiac a aimé

  • L'équipement à la hauteur
  • L'habitacle lumineux
  • La tenue de route équilibrée
  • Le confort de suspension

Caradisiac n'a pas aimé

  • Les moteurs Boxer (4 cylindres à plat) décevants
  • L'insonorisation
  • La banquette arrière trop dure
  • L'ergonomie (commodos, radio...)

Nos versions préférées

  • 1.6 TS L
  • JTD

Qualités et défauts

Ce qui peut vous tenter

  • Le style : élancé et nerveux, il évoque la sportivité et séduit par son équilibre.
  • L'équipement : pour un modèle de cette génération, la dotation est plutôt complète.
  • L'habitacle : il est bien éclairé par une surface vitrée largement répartie.
  • L'équilibre sur route : si vous ne titillez pas trop l'accélérateur, la tenue de route est sereine et même équilibrée.
  • Le confort de suspension : au contraire d'une tradition Alfa souvent vérifiée, il n'y a pas ici de sécheresse excessive, sauf sur les versions sportives.

Ce qui peut faire hésiter

  • Les moteurs Boxer (4 cylindres à plat) : décevant en performances.
  • La commande de boîte des versions à moteur Boxer : elle se montre bien lourde. Heureusement, elle a été modifiée par la suite avec l’arrivée des moteur en ligne.
  • La pédale de frein des premières versions : contact spongieux, désagréable.
  • Le réglage trop sensible de l’accélérateur : il exige un dosage très fin pour la circulation en ville.
  • L'insonorisation : limitée, ce qui est pénalisant surtout sur les diesels
  • La banquette arrière : implantée trop haut et notoirement inconfortable.
  • La radio : elle est implantée bien trop bas, et pâtit de boutons de réglage trop petits.
  • Le hayon : il ne s'ouvre qu'avec le recours à la clé. Peu pratique.
  • Le commodo d'essuie-glace : son maniement s'avère un peu compliqué, avec des bagues tournantes pour régler les essuie-glace avant et actionner l'essuie-glace arrière. Tout cela peut être confondu.

Budget

Achat / Cote :

Tranche de prix limitée. Les versions diesel, surtout les dernières avec l'excellente mécanique JTD, sont, et de loin, les plus appréciées et les plus cotées.

Consommation :

Les premières versions essence à moteur Boxer (4 cylindres à plat) affichent un médiocre rapport performances/consommation. Le bilan s'améliore très nettement avec les 4 cylindres en ligne arrivée à mi-carrière. Les deux diesels sont globalement mieux placées, avec un bonus pour la seconde, la JTD à injection par rampe commune qui s'avère la plus sobre de la gamme.

Assurance :

Tarifs très limités

Prix des pièces :

Prix très raisonnables dans l'ensemble.

Entretien :

Visites d'entretien tous les 10 000 à 15 000 km (et tous les ans au maximum si le kilométrage limite n'a pas été atteint). Courroie de distribution à remplacer tous les 120 000 km (mais mieux vaut envisager un remplacement à 90 000 km sur les versions à essence 1.8 et 2.0).

Fiabilité

Description :

Le soubassement provient de Fiat (Tipo), les premiers moteurs à essence sont issus de la précédente Alfa 33, et la qualité de fabrication générale s'améliore par rapport aux précédents standards de la marque à cette époque. A partir du restyling, l'implantation de nouveaux moteurs à essence ne va pas sans poser de petits problèmes, mais les choses s'améliorent assez vite. De même, en diesel, le passage de l'ancien turbodiesel à la nouvelle génération (JTD) passe par quelques soucis de jeunesse, mais le plus gros d'entre eux avait été essuyé par la 156, qui avait étrenné plus d'un an avant cette technique novatrice d'injection par rampe commune.

Pannes lourdes ou immobilisantes :

  • Moteur 2.0 l. Sur les versions Quadrifoglio fabriquées jusqu'en décembre 1996, risque de rupture avant terme de la courroie de distribution. Attention : risque d'endommagement important des soupapes, voire de casse moteur. Plusieurs améliorations ont été apportées usine : amélioration du tendeur de courroie (juin 1996), nouveau matériau de poulie (avril 1996), nouvelle courroie (décembre 1996).
  • Moteur 2.0 TD. Accroissement des fumées noires à fort kilométrage (plus de 150 000 km). Provient souvent d'un problème de pompe d'injection.
  • Moteur 1.9 JTD. Sur les premiers modèles, quelques cas d'incidents sur la pompe d’injection et les injecteurs. Résultat : perte de puissance, et/ou ralenti devenant irrégulier et impossible à régler par une reprogrammation électronique ; également quelques fuites de gazole sur la rampe commune d'injection. Mais la plupart de ces faiblesses ont été corrigées lorsque la voiture était aux mains du premier propriétaire. La marque a souvent accordé des extensions de garantie sur ces points. La fiabilité de toute la partie injection de ces moteurs (pompe, rampe commune et injecteurs) est devenue normale à partir de janvier 2000.
  • Volant moteur. Sur les versions 1.9 JTD, possible incident sur le volant moteur à partir de 80 000 km.
  • Refroidissement (radiateur). Sur les versions 1.3 l et 1.6 l fabriquées jusqu'en juillet 1996, quelques pannes du ventilateur moteur. Causé par une défaillance du thermocontact servant à son déclenchement.

Autres pannes ou faiblesses :

  • Moteurs à essence Boxer. Des à-coups à l'accélération dans les bas et moyens régimes, surtout lors de faibles pressions sur l’accélérateur. un phénomène particulièrement gênant en ville. Remède possible : reprogrammation du boîtier de gestion moteur.
  • Moteur 1.3 Boxer. Sur les modèles fabriqués jusqu'en juillet 1995, ralenti souvent chaotique à froid. Amélioration possible par le remplacement d’un module électronique.
  • Moteur 1.6 Boxer. Sur les modèles fabriqués jusqu'en juin 1996, ralenti parfois chaotique à froid. Amélioration possible par le remplacement d’un module électronique.
  • Moteurs 4 cylindres en ligne à essence. Sur les modèles fabriqués jusqu'en février 1999, bruit causé par la commande de la distribution (commande des arbres à cames). Causé par le système de commande variable des arbres à cames. Résolu en usine par l'adoption d'un nouveau variateur. Rectification possible en concession depuis juin 1999.
  • Moteurs 1.8 l et 2.0 l. Sur les modèles fabriqués jusqu'en septembre 1999, le ralenti est souvent irrégulier, avec des à-coups à l’accélération. Phénomènes surtout prononcés sur le moteur 2.0. L'amélioration partielle apportée en usine en juillet 1998 avec rappel des voitures 3 mois plus tard n'a donné que partiellement satisfaction. Nouvelle amélioration en septembre 1999, avec l'adoption d’une nouvelle centrale d’injection et des paramètres de gestion moteur redéfinis. En après-vente, possibilité de reprogrammation sur les voitures précédentes depuis novembre 1999.
  • Moteurs 1.8 l et 2.0 l. Le démarreur est assez long à lancer le moteur.
  • Moteur 1.9 JTD. Apparition de vibrations mécaniques à partir de 40 000 km, qui s'accroissent par la suite assez rapidement. Causées par l'altération de l’insert en caoutchouc de la poulie de vilebrequin. Poulie à remplacer : env. 240 €.
  • Refroidissement (radiateur). Sur les modèles fabriqués jusqu'en février 1999, le radiateur est particulièrement exposé aux projections de gravillons, en raison du dessin des grilles inférieures du bouclier avant.
  • Boîte de vitesses. Sur les versions à essence, bruit additionnel audible au point mort. Le plus souvent causé par la butée d'embrayage.
  • Boîte de vitesses. Sur les modèles fabriqués jusqu'en juin 1998, légers suintements d’huile à partir de 80 000 km. Sans gravité.
  • Différentiel. Résistance insuffisante en sollicitation très sportive (avec des démarrages en trombe répétés, en embrayant vigoureusement à l'arrêt à plus de 3 000 tr/mn).
  • Embrayage. Durée de vie du disque un peu inférieure à la moyenne.
  • Train avant. Sur les versions à essence, claquements à petite vitesse, sur mauvais revêtements ou lors de braquages importants.
  • Freins avant. Sur les modèles fabriqués jusqu'en mars 1997, bruit des plaquettes lors des ralentissements.
  • Freins avant. Longévité moyenne des plaquettes. Elles sont à changer tous les 25 000 km environ.
  • Echappement. Longévité du silencieux arrière un peu inférieure à la moyenne, surtout sur les versions à moteurs Boxer (fabriquées jusqu'en mars 1997).

Aspect extérieur :

  • Bon vieillissement, rien à signaler.

Finition intérieure :

  • Garnissage de pavillon. Sur les modèles fabriqués jusqu'en juillet 1997, il est mal maintenu : bruit et risque de décrochage.
  • Plastiques. Protections des entrées de portes fragile, aisément marquées par les rayures. Quelques plastiques intérieurs sont également sensibles aux rayures, comme les accoudoirs de portières, les éléments autour de l’autoradio et du barillet de Neiman.
  • Poignées intérieures de portières. Sur les modèles fabriqués jusqu'en juillet 1995, elles sont parfois inopérantes.
  • Sellerie. Sur les modèles fabriqués jusqu'en février 1997, coutures latérales des sièges irrégulières et parfois fragiles.
  • Sièges avant. Jeu sur les assises et sur les dossiers.
  • Assemblage. Jointures du mobilier intérieur approximatives.
  • Compartiment arrière. Sur les modèles fabriqués jusqu'en février 1997, le garnissage intérieur du hayon est mal maintenu. Il fait du bruit et peut se décrocher.
  • Bruits parasites. Bruit en provenance des gâches de serrures de portière avant, articulation des pédales bruyantes, frottement entre les différents éléments de la planche de bord, vibrations en provenance du compartiment arrière (souvent de la tablette). Une amélioration partielle a été apportée lors du restyling en mars 1997.
  • Bruits d’air. Sur les modèles fabriqués jusqu'en juillet 1995, sifflement en provenance des portières avant.

Dysfonctionnements électroniques/fonctions à bord :

  • Lave-glaces. Sur les modèles fabriqués jusqu'en juillet 1996, quelques incidents et pannes.
  • Lève-vitres. Sur les modèles fabriqués jusqu'en mars 1997, quelques pannes.
  • Climatisation. Incidents possibles au bout de 4-5 ans.

Rappel de rectification en concession :

  • Moteurs 1.8 l et 2.0 l. Sur les modèles fabriqués jusqu'en juillet 1998, soucis chroniques de régulation moteur : ralenti très irrégulier, à-coups marqués à l’accélération. Rappel à l’automne 1998 : remplacement du micro-moteur de ralenti et du boîtier de papillon des gaz, reprogrammation du boîtier de gestion moteur.
  • Boîte de vitesses. Sur les versions à essence fabriquées jusqu'en juillet 1995, passage de la marche arrière bruyant, et des cas d'usure accélérée des synchros. Boîte rectifiée ou changée par les concessionnaires.

Après-Vente :

Qualité de service globale du réseau constructeur :
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
Prise en charge sous garantie :
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
Prise en charge hors garantie :
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4

Meilleures versions

En essence : 1.6 TS L

Un tout autre moteur que le 1.6 Boxer. Ici, ce 16 soupapes à 4 cylindres en ligne dispense une agréable vitalité et convient très bien à la voiture.
Commercialisation : 1999
Puissance fiscale : 8
Puissance réelle : 120 ch
Emission de CO2 : NC
note :
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6

En diesel : JTD

Le jour et la nuit par rapport à la précédente version 2.0 TD : le moteur turbo très modernisé adopte une injection par rampe commune. Les performances progressent, l'agrément de conduite ainsi que le confort sonore font un bond en avant, et la consommation chute en moyenne d'un litre aux cent !
Commercialisation : 1999
Puissance fiscale : 6
Puissance réelle : 105 ch
Emission de CO2 : NC
note :
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6

Mots clés :

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Avis Alfa Romeo 145

145 1.8 TS L (2000)

Par test-cca241c3 le 02/09/2019

Ma deuxième 145. La première était une 1.4 TS série L, donc avec toutes options.Voiture plaisante pour la balade et sur autoroute grâce à sa bonne réserve de puissance (144CH). La finition intérieure est très flatteuse, surtout pour l'époque. L'espace intérieur est généreux pour 2 personnes. Voyager à l'arrière est réservé aux courageux compte tenu du manque de place. La modularité est intéressante : une fois les sièges rabattus, on a un très bon espace de stockage.Question confort : on est dans du sportif. Pas de miracle, la bonne tenue de route est obtenue au détriment du confort. Ça sautille, passer un ralentisseur casse le dos, les longs trajets sont assez fatigants à cause du bruit ambiant et de la fermeté des sièges. Rien de catastrophique, mais ce n'est vraiment pas un pullman. Je dirais que c'est plutôt une voiture de week-end, malgré son aptitude à avaler les longues distances sur autoroute sans broncher. Que ce soit à plat ou en côte, le moteur est suffisant pour tenir des bonnes moyennes.Question fiabilité, la mauvaise réputation des Alfa est un souvenir solidement ancré dans l'esprit des gens. A tort (à quelques détails près). On est loin des Giulietta, Alfetta, GTV et autres modèles des années 70 à l'électricité douteuse et à la forte prédisposition à la rouille. Tout fonctionne après 20 ans, jamais de problèmes de démarrage, c'est plutôt du solide.Du côté moteur, il y a le fameux problème du Twin spark et son variateur qui se met à faire du bruit. Ca, ils n'ont jamais réussi à le régler, que ce soit chez Fiat, Alfa ou LAncia (c'est le même bloc). Si on est bricoleur, on s'en sort à pas trop cher. Mais chez le garagiste, la distribution + le variateur ça coûte près de 1000€ (quand ils le font bien, ce qui est loin d'être le cas).En dehors de ça, peu de problèmes moteur si on respecte la mécanique. Ce n'est pas une Clio : vidanges fréquentes, ne pas accélérer à froid, respecter la mécanique tout simplement. Et à ce moment là elle peut faire des centains de kilomètres.Côté châssis, je trouve que le train avant n'est pas une réussite. A la fois ferme et un peu sous-vireur, il a une forte tendance à user du pneu irrégulièrement. Les trianges dépassent rarement les 120.000km sans prendre de jeu. rien de méchant là non plus.D'autres petits détails : les vitres électriques qui sont assez paresseuses, et les caoutchoucs de joints de porte qui grincent sur les bosses (elles le font toutes).En résumé, on achète une 145 pour sa ligne et son côté jouet. On lui pardonne tout le reste.Si je devais refaire mon choix, j'opterais pour la 1.4, plus agréable que la 1.8 malgré une puissance bien en dessous. Le 1.4 tourne plus rond et ses montées en régime n'entraînent pas de vibrations. Cela vient du fait que c'est un moteur super carré, alors que le 1.8 est un longue course (seule la course change entre les 2, ce qui n'est à mon avis pas un bon choix de conception).Avant achat, bien vérifier dessous. Comme sur toutes les voitures de cet âge, la rouille peut avoir fait son travail, même si les soubassements sont bien traités

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