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Avis Bmw Serie 3 E36

Serie 3 E36 (E36) 323I WORLDLINE (1997)

Par test-965826a9 le 12/02/2020

J'ai fait l'acquisition l'année dernière d'une belle e36 de fin 97 avec 153000 km et je dois dire que c'est une super caisse avec un super moteur (voiture achetée avec un boitier éthanol)Elle est toute d'origine sauf le boitier ethanol et un silencieux sport posé récemment Elle est bien équipée pour l'époque, intérieur cuir, clim auto bizone, régulateur, toit ouvrant, 4 vitres électriques, jantes alu, antipatinage etc...Commençons par les points forts -le moteur est extraordinaire sonorité envoûtante et addictive et souplesse à bas Régime impressionnante (20km/h en 5e) et ça ne broute pas, il s'agit du M52b25 donc avec le vanos et c'est génial passé 4000tr/min sur route la voiture a une conso raisonnable entre 7 et 8l a l'éthanol Par contre des qu'on est en ville on est facilement a 15l mais bon cest le prix du plaisir -La boite de vitesse est parfaitement étagée 6200tr/min a 240 km/h super bien guidée précise et souple -le train arrière est jouer mais toujours maîtrisable meme sous la pluie grâce à un antipatinage tout simplement impressionnant d'efficacité et de douceur en cas d'intervention -l'intérieur est bien conçu et ergonomique, commandes accessibles et position de conduite parfaite -le prix des pièces est raisonnable (et on trouve absolument tout) et c'est une voiture pas chère à assurer meme en permis probatoire (2 ans de permis pour moi) et 90e par mois au tiers plus-Ligne de la voiture vieillit bien -meme si je n'ai fait que 4000 km avec la voiture la fiabilité est reconnue ferroviaire sur ces autos, sur ses presque 160000km les seules réparations qu'elle a eu sont le capteur Pmh (maladie) 150e pièces et main d'oeuvres et un moteur de leve vitre -enfin le confort est appréciable on est bien assis, l'insonorisation est bonne et les suspensions sont souples Les points négatifs -le freinage manque de mordant mais est correctement endurant sans plus-consomme bcp en ville (mais bon on s'en fou)-finition intérieure pas terrible du tout bruits d'accastillage et ciel de toit qui commence à se décoller -la course de l'embrayage est trop longue -le point dur pour passer la marche arrière est pas agréable Suspensions souples mais font manquer de rigidité à la voiture -les commandes de réglages des sièges sont insupportables -petit soucis électriques : verrouillage centralisé ne fonctionne que sur 3 portes et l'antipincement de ma vitre a tendance rouvrir la vitre

Serie 3 E36 (E36) 325TDS (1994)

Par test-842b66b8 le 19/12/2016

Je suis l'heureux propriétaire d'une 325 TDS immatriculée pour la première fois le 11 novembre 1994. J'ai actuellement 391 500 km au compteur… J'ai une conduite assez sportive et je consomme généralement un bon gros 8 l aux 100 en été alors qu'en hiver la consommation tournerait plutôt aux alentours des 10 l aux 100 car je fais beaucoup de ville et je n'ai pas le pied très léger sur l'accélérateur. À sa sortie, il y a plus de 20 ans, le surnom allemand de cette voiture était « sport mazout » et on peut dire que c'est un surnom très mérité tant cette voiture apprécie de monter dans les tours. La limite de la zone rouge est à 4800 tr/m mais on peut sans trop de problème dépasser les 5000 tr/m avant que le rupteur n'intervienne. En cinquième, ont atteint sans aucun problème des vitesses inavouables, le style d'allure qui vous ferait confisquer la voiture en cas de mauvaises rencontres avec un radar. Ce qui est surtout étonnant, c'est cette sensation d'accélération continue alors même qu'on s'approche des limites de la voiture. Une petite précision : mon embrayage est d'origine ! Ce qui est d'autant plus étonnant que je roule la plupart du temps essentiellement en ville. En 22 ans de vie commune, cette voiture ne m'aura pratiquement rien coûté en réparation, si ce n'est une rampe d' injecteurs à 1350 € pose comprise. Et pourtant, elle avait été recalée à son premier contrôle technique pour cause d'un jeu dans les biellettes de direction, défaut qui a visiblement été corrigé ensuite puisqu'en 400 000 km je n'en ai changé les rotules que deux fois. Il paraît qu'un défaut de cette voiture est le démarrage à chaud. En ce qui concerne la mienne, ce seraient plutôt ces temps-ci les démarrages à froid qui posent problème… Surtout quand il fait chaud ! À cause d'un jeu dans le Neyman qui impose de tourner la clé d'une certaine façon en faisant pression d'une certaine manière, il n'y a plus que moi qui réussis à la démarrer. Ça m'oblige à être présent lors des entretiens en centre auto mais ça m'amuserait plutôt. Comme sur toutes les BMW de cette époque, j'ai le ciel de toit qui se décolle. J'ai réglé le problème avec des petites épingles à tête ronde et noire. Pour le reste, l'habitacle est étonnamment frais pour une voiture qui dort dehors depuis 20 ans, Et le velours des sièges est d'une résistance étonnante. La peinture extérieure rouge métallisée a toujours bonne allure. J'ai désormais des difficultés avec la vitre latérale côté conducteur qui a tendance à écraser ses joints quand on la remonte. La solution : faire pression à la fois vers l'arrière et vers le haut quand elle commence son ascension. Étant frontalier, je retrouve assez fréquemment sous mais des essuie-glaces des propositions de rachat de ma voiture par une société belge. Hors de question pour moi de revendre une voiture qui accumule les démarrages au petit matin depuis plus de 20 ans sans occasionner de frais autres que l'assurance le fioul et deux vidanges par an ( avec de l'huile haut de gamme synthétique Norauto). Lors du dernier contrôle technique, le directeur du centre m'a également proposé de me la racheter et devant mon refus m'a dit que j'avais raison car elle devrait normalement pouvoir dépasser sans trop de problèmes les 600 000 km