Volvo a réussi aujourd'hui son entrée en Bourse, avec une valorisation à 20 milliards de dollars et une levée de fonds ayant permis de récolter plus de 2 milliards de dollars. Désormais, c'est l'autre marque du groupe Geely, Polestar, qui devrait faire son entrée sur les marchés financiers.
Avec la méga-commande du loueur Hertz, la valorisation de Tesla s'est à nouveau envolée pour dépasser les 1000 milliards de dollars. C'est près de 20 fois plus que Stellantis.
Radars : des recettes plutôt en berne, mais…
, mis à jour 26
Les prévisions budgétaires pour 2022 viennent de tomber : le gouvernement table sur à peine plus de 700 millions d'euros issus des radars automatiques, soit à peine plus que ce qu'il devrait récupérer aussi cette année. En tout, il compte encaisser près d'1,8 milliard d'euros l'an prochain, avec l'ensemble des amendes routières, payées ou non dans les temps. Décryptage.
Si plusieurs assureurs ont gelé leurs tarifs cette année - et la Maïf est la seule pour l'instant à avoir indiqué qu'elle réitérait en 2022 -, rares sont ceux à avoir remboursé les trop-perçus encaissés à la faveur des confinements qui ont entraîné une baisse de la sinistralité. Et les assurés devraient se préparer à la hausse des tarifs à partir de 2023, selon un spécialiste du secteur !
Après avoir exclu une entrée en Bourse en 2018 du fait d'un contexte économique peu favorable, Volvo Cars pourrait y être introduit d'ici la fin d'année selon plusieurs sources. La marque serait valorisée à 16 milliards de dollars.
Au cours du premier semestre 2021, Stellantis a fait un bénéfice de 6 milliards d'euros.
Le constructeur japonais prévoit désormais de revenir dans le vert dès son exercice fiscal 2021/2022.
Les bonnes ventes du DBX ont permis à la marque de ralentir ses pertes financières.
Michelin a enregistré de bons résultats au premier semestre 2021.
Le Plan de relance autoroutier (PRA), négocié en 2015 entre l'État et les sociétés concessionnaires d'autoroutes (SCA), et qui prévoit pour 3,27 milliards de travaux en échange d'une prolongation des contrats de concession, aurait déjà coûté 600 millions d'euros de moins que prévu… au profit des SCA et donc à la défaveur de l'État ! C'est ce qui ressort du rapport publié par le régulateur du secteur la semaine dernière.
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