D'ici la fin de la décennie, Mobilize doit représenter 20 % du chiffre d'affaires du groupe Renault. Mais que va proposer cette marque ?
Avec des chiffres de vente en forte baisse, l’industrie auto vient de vivre son pire premier trimestre depuis 50 ans. En cause, la crise sanitaire qui a entraîné des pénuries de composants, des difficultés d’approvisionnement et des délais de livraison qui s’allongent. Une situation complexe à laquelle s’ajoute l’instabilité internationale liée au conflit en Ukraine.
Les deux entreprises souhaitent atteindre une moyenne de 30 % de plastiques recyclés dans les modules intérieurs des voitures dès 2025.
Moins de dix ans après avoir relancé Datsun sous l’impulsion de son patron de l’époque, Carlos Ghosn, le constructeur japonais Nissan vient d’annoncer la fin de la production des véhicules de la marque.
Pionnière du low-cost automobile, la marque Dacia préfère parler de « design to cost » pour définir sa stratégie qui consiste à partir du coût pour établir le design et la solution technique de ses véhicules. Faire mieux avec moins, un credo que Dacia continue de mettre en œuvre.
Engluée dans son manque de rentabilité, la marque dieppoise va petit à petit n'être plus que l'ombre de son ombre. Autopsie d'un constructeur emblématique qui va disparaître sans le dire, et se fondre dans le paysage du rebadgage et des versions sportives d'autres modèles. Une histoire qui semble bégayer chez Alpine.
En signant un accord avec la société américaine Quallcom, le groupe va pouvoir utiliser la technologie Snapdragon dans les autos de ses 14 marques. Au programme : une rapidité d’exécution de ses systèmes d’infotainement multiplié par deux et un accès aux semi-conducteurs amélioré. De son côté, avec cet accord, le groupe US augmente son emprise désormais phénoménale sur le monde automobile.
Le groupe Stellantis (PSA et Fiat) annonce la suspension des activités dans son usine russe de Kalouga, qui assemble des fourgons.
En privilégiant les modèles haut de gamme générant de plus confortables marges, les constructeurs avancent trop lentement sur le dossier de la voiture électrique populaire. Un vrai danger.
Le record de Carlos Ghosn est battu : au titre de l'exercice 2021, le directeur général de Stellantis devrait toucher 19,1 millions de rémunération, auxquels s'ajoutent plus de 47 millions qu'il pourra percevoir plus tard. Ce total de 66 millions fait polémique depuis 24 heures, et pose un problème d'ordre politique et social.
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