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Aujourd’hui voué aux gémonies, le moteur inventé par Diesel présentait bien des avantages qu’on a peut-être tort de mépriser aujourd’hui…

Pendant l’été, la Route de Nuit reste la route de la culture. Caradisiac vous invite à redécouvrir les personnalités du monde des arts, de l’architecture, du cinéma, de la musique, de la littérature, qui ont intégré l’automobile dans leur art.

On s'en moque parfois, en l'affublant de surnoms comme la "Porsche du pauvre", ou la "De Lorean française", avec un brin de condescendance. Même le cinéma a tenté de ringardiser le coupé français, avec Kad Merah et Olivier Baroux dans Mais qui a tué Pamela Rose.

A près de 400 000 € hors option, cette Giulia GT ne s'adresse pas à tout le monde. Mais elle devrait trouver aisément son public vu le pedigree de l'auto, remise au goût du jour par le spécialiste allemand Emilia Auto.

Dans ses films, le très regretté Bébel a anéanti des wagons de voitures, des Fiat mais pas que. Mais c’était pour des scènes épiques qui, à elles seules, incitent le passionné à visionner le film dans lesquels elles prennent place…

Longtemps réfractaires à la boîte automatique, les Français la plébiscitent désormais. Mais savent-ils que son inventeur n’est pas américain, comme on le croit souvent, mais bien de chez nous ? C’est l’Alsacien Gaston Fleischel.

Jusqu’au premier janvier 1993, les voitures françaises devaient obligatoirement s’équiper de projecteurs jaunes. Mais d’où est venue cette idée qui nous paraît bien étrange aujourd’hui ?

Pendant l’été, la Route de Nuit reste la route de la culture. Caradisiac vous invite à redécouvrir les personnalités du monde des arts, de l’architecture, du cinéma, de la musique, de la littérature, qui ont intégré l’automobile dans leur art.

Un pick-up aussi habitable et confortable qu'une berline ? Personne n'en a rêvé mais Subaru l'a fait, en 2002, aux États-Unis. Mais les Américains l'ont boudé et le Baja s'en est allé. Un échec cuisant lié à son dessin différent, son côté pratique absent et ses tarifs déroutants.

En 1998, pour célébrer ses pilotes en F1, Mercedes dévoile deux éditions très limitées de sa toute première génération de Classe A. Un des exemplaires est aujourd'hui à vendre dans un état concours, et à prix d'or.