On peut aimer Genève et lui préférer Paris. C’est peut-être le cas de Suzuki qui attend le Mondial de l’automobile pour dévoiler ses deux grandes nouveautés de l’année : un Jimny flambant neuf et un Vitara restylé, comme nous le révèle sa porte-parole pour la France Nathalie Geslin.
Michel Holtz
Lui écrireLa marque suédoise bouscule les traditions. Plutôt que de présenter la version classique de sa berline S60, Volvo dévoile d’abord, à Genève, le break V60. Marc Debord, le porte-parole du constructeur en France, justifie ce chamboulement des règles par le côté historique du break Volvo qui perdure depuis 60 ans. La berline, elle, débarquera cet été.
Le directeur du marketing Citroën le reconnaît : l'Europe n'a pas la priorité du SUV C5 Aircross vendu en Chine depuis un an. Il a déjà séduit 30 000 clients là-bas et contribue au renouveau de PSA dans l'Empire du milieu. Pourquoi un tel retard à l'allumage ici et une absence au salon de Genève ? On vous explique pourquoi.
La nouvelle mouture du grand SUV allemand fait l’impasse sur le salon suisse. Il se réserve pour celui de Pékin qui ouvre ses portes dans un mois et demi. Thierry Lespiaucq, le patron du groupe Volkswagen en France, donne rendez-vous au public européen cet été pour le découvrir.
C'est l'auto de l'année pour Ford en Europe. Pourtant, alors qu'elle est prête à être dévoilée, la Ford Focus fait l'impasse sur le salon de Genève. Le président du groupe en France nous explique les raisons de cette absence.
Le groupe espagnol a décidé de créer une nouvelle marque sportive en séparant ses modèles Cupra du reste de sa gamme. D’autres, pour des raisons différentes, ont été tentés par le séparatisme, de Citroën à Volvo en passant par Toyota. En fait, Seat tente de rejouer la même pièce que celle que Fiat a interprétée avec Abarth. Mais les temps ont changé.
Mondial de l’auto 2018 : une affiche qui fait hurler les irréductibles pour mieux séduire les autres
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Critiquée sur les réseaux sociaux dès sa parution, l’affiche du prochain Mondial de l’automobile déplaît aux puristes de l’auto. Sauf qu’elle n’est s’adresse pas à eux, qui de toute manière ne rateraient l’événement pour rien au monde. Elle cible tous ceux qui ont parfois oublié la route qui mène à la Porte de Versailles, à Paris.
Taxi 5 ou Fast & Furious 8 sont loin d’être des chefs-d’œuvre. Encore une rencontre ratée entre l'automobile et le cinéma. Depuis les débuts de la voiture, qui a grandi en même temps que le 7e art, ces deux-là se sont frôlés, côtoyés, sans jamais vraiment s’apprécier ou même s’apprivoiser.
Cette édition, plus qu’aucune autre, a vu le show américain se transformer en un salon de moins en moins international et de plus en plus dédié aux conducteurs américains. Les pick-up et gros SUV sont à l’honneur alors que les nouveautés destinées aux marchés étrangers, et notamment à l’Europe, n’occupent plus qu’une portion congrue. Pour mieux comprendre ce curieux marché, une petite visite avec un expert de l’auto US s’impose. Bertrand Rakoto est un analyste indépendant qui vit et travaille à Detroit. Suivez le guide.
La marque milanaise revient de loin, mais 2017 signe son renouveau avec une hausse des ventes de 62 %. Mais ce n'est pas suffisant pour son PDG, tiraillé par ses créanciers. D'autant qu'en parallèle, Maserati touche le fond et stoppe momentanément sa production. Chronique d'un succès un peu amer.