Le monde se divise en deux catégories : celle des personnes qui ont tourné sur le circuit de Laguna Seca en AC Cobra dans Gran Turismo, et celle de ceux qui l'ont fait dans la réalité. Jim Farle tombe dans la deuxième catégorie.
Dans la vie du petrol head, il y a des fantasmes. De toutes sortes. Beaucoup aimeraient conduire voire posséder une AC Cobra, d'autres aimeraient drifter comme des champions, certains rêveraient de garer l'objet de leur désir dans leur salon. Par contre, ils sont assez peu nombreux à souhaiter cumuler tout ça et encore moins à le réaliser. Il en existe pourtant un.
Marcassus Sport distribuait déjà Lotus, Caterham et PGO. A cela s’ajoutait un rôle de partenaire service pour KTM et son X-Bow.
L'AC Cobra n'en finit plus de faire le bonheur des petits artisans de nombreux pays, chacun y allant de sa réplique avec plus ou moins de bonheur. Mais rares sont ceux atteignant la qualité du travail de Superformance, basé en Californie, puisque
L’Iconic AC Roadster n’a pas un physique facile, « but don’t judge a book by its cover ».
Il est devenu courant d’accuser les marques chinoises de copier ou plagier des modèles occidentaux, mais il ne faudrait pas oublier que la pratique de la copie est fortement ancrée en Angleterre et aux Etats-Unis, par exemple, où de nombreux artisans vivent de la copie de modèles mythiques. L’AC Cobra fait partie de ceux-là.
Voila une auto assez méconnue, et qui pourtant est intéressante à plus d'un titre. L'AC 428 est arrivée après la Cobra, avec une optique beaucoup plus GT, plus luxueuse mais avec le fameux moteur V8 428 C.i.
L’an dernier, au mois d’août, j’avais été particulièrement sévère avec la plastique de l’Iconic Motors AC Roadster. Encore me faudrait-il pouvoir en juger de visu.
Un seul mot : Incroyable !
Avec les AC Cobra c'est toujours un peu l'inconnu, on a souvent du mal à connaître l'origine de l'auto. Entre les vraies, les fausses, les modifiées, sans compter ces passionnés qui racontent à ceux voulant bien l'entendre qu'ils ont une vraie