Voici la toute dernière évolution de l’Ariel Atom, cette anglaise artisanale et exotique, la 3.5R.
Voici une nouvelle série de brèves « produit ».
Le segment des sportives radicales a connu une vraie poussée ces dernières années. Catégorie autrefois dominée par les Caterham et assimilés, la concurrence est désormais sévère avec des acteurs tels que les Ariel Atom, Radical, KTM X-Bow,
Le magazine et site anglais Autocar est un habitué des comparatifs iconoclastes qui, s'ils ne font pas forcément sens à première vue, donnent au moins lieu à de sympathiques vidéos et à des discussions enflammées dans les commentaires.
L’artisan constructeur anglais Ariel n’entend pas s’endormir sur ses lauriers. Alors qu’il dispose déjà à son catalogue d’une machine, l’Atom, particulièrement légère, il cherche de nouvelles solutions pour la rendre encore plus légère…
L'Ariel Atom et son insolente efficacité ont instauré de nouveaux standards dans le monde des track days. Elle est devenue un sacré épouvantail chez les grosses GT, et même la cible à abattre dans la catégorie des « light is right ».
Avant d’aborder le Nürburgring en R300, Pierre Desjardins avait reçu comme avertissement de Soheil Ayari : « Le Nürburgring en Caterham c’est chaud ! ». Une phrase traduisant parfaitement le respect qu’imposent les autos pouvant
Le constructeur artisan anglais Ariel introduit une évolution de son unique modèle, l’Atom 3.5.
Une Ariel Atom « de série » et ses 248 ch (voire 300 en version compressée) sont déjà un engin terriblement spectaculaire et effrayant pour le commun des conducteurs. Il faut probablement avoir quelque chose dans la tête qui ne tourne pas très rond pour proposer le même engin avec 700 ch sous la pédale. DDMWorks l'a fait.
Ariel est une ancienne marque anglaise revenue sur le devant de la scène ces dernières années avec l’introduction de l’Atom. A l’heure actuelle, le constructeur commercialise auprès des passionnés l’Atom 3.