Les annonces tombent en ce moment du côté du groupe automobile Daimler. Des informations qui tournent cependant autour des deux mêmes thèmes : la Chine et l’électrification de la gamme. Cette dernière sortie fait d’ailleurs la synthèse des deux. En effet, le groupe automobile allemand Daimler et le constructeur chinois BAIC vont investir 1,5 milliard d'euros dans une usine de véhicules Mercedes-Benz en Chine afin de booster la production de voitures électriques.
La rumeur courait depuis déjà plusieurs semaines et elle s’est concrétisée en nouvelle officielle : le groupe Daimler, qui a notamment dans son giron de Mercedes-Benz et Smart, a maintenant un Chinois comme actionnaire principal de ses activités. Ce dernier supplante de fonds public koweïtien qui jouait jusque-là ce rôle. Une nouvelle démonstration de l’inexorable montée en puissance de la Chine dans le monde automobile.
On ne sait s’il y a lien de cause à effet, mais la nouvelle d’une marche forcée vers une électrification de la gamme tombe bien. Exactement au moment où Daimler va devoir faire face à ses responsabilités aux États-Unis où des enquêteurs de l’administration ont mis à jour l’existence de logiciels truqueurs dans ses moteurs diesels, grâce lui faussement vertueux au regard des normes antipollution. Lorsque l’on sait ce que ce genre de manœuvre a coûté à Volkswagen, on ne peut que trembler pour Daimler, si puissante qu’est cette enseigne. Mais chaque chose en son temps, et le groupe allemand fait savoir qu’il a confiance en l’avenir en annonçant un colossal investissement de 2,6 milliards d’euros.
Le Dieselgate est de retour et s’il faut toujours parler allemand pour le cerner, il faut cette fois quitter Volkswagen pour rejoindre Daimler. Le groupe où brille l’étoile Mercedes a brûlé son auréole aux États-Unis où les enquêteurs ont trouvé dans ses moteurs diesels les fameux logiciels truqueurs les rendant vertueux au regard des normes antipollution. Le constructeur mis en cause a déclaré que les enquêtes à son sujet conduites aux États-Unis et en Allemagne pourraient aboutir à d'importantes amendes et à des rappels massifs de véhicules.
Avec une révolution automobile en marche promettant de futurs engins électriques en mesure de s’insérer dans le flot de circulation sans la moindre intervention d’un conducteur, les constructeurs de voitures continuent de repousser les frontières de leurs activités. Ils injectent des millions dans des start-up impliquées dans la nouvelle mobilité, s’unissent pour répondre au besoin de partager sa voiture ou se lancent carrément dans la conception d’un modèle autonome. Concernant ces deux dernières démarches, on retrouve un acteur très actif ces derniers temps : Daimler.
Il est loin le temps où partager l’habitacle de sa voiture pour faire un trajet consistait à gracieusement prendre sur le bord de la route un auto-stoppeur aussi téméraire que patient. À présent, cette démarche est un service tarifé comme un autre rationalisé par un service dédié généralement activé depuis son téléphone portable. Un sacré business qu’Uber a mis sous les projecteurs, bouleversant les codes du transport à la personne. Les constructeurs automobiles s’y mettent et ils commencent même maintenant à s’entendre pour se partager le gâteau…
S'il faut patienter encore quelque temps pour découvrir entièrement la nouvelle génération de Classe A, Mercedes-Benz a dévoilé pour la première fois en public au CES 2018 à quoi rassemble l'interface de son système multimédia.
C’est une histoire étonnante et le surprenant aveu d’un amateurisme désarmant qui nous vient d’Allemagne et, plus précisément du grand groupe Daimler. L’écrin qui abrite le bijou Mercedes se lance dans le courant général de l’électrification de sa gamme et il n’est rien de plus normal, à cette aune, d’étudier les modèles d’un constructeur Tesla précurseur dans le haut de gamme à batteries. Mais encore faut-il faire preuve d’un minium de jugeote et de discrétion pour le pas être pris la main dans le sac. En l’occurrence, en louant un Model X par l’intermédiaire d’une agence ayant pignon sur rue, le blason à l’étoile a brûlé son auréole…
C’est une affaire qui ressemble beaucoup à celle connue sous le nom de « cartel des camions ». Ce qui est évident en revanche, c’est qu’elle rassemble certains des mêmes protagonistes qui, pendant un temps, se sont entendus comme larrons en foire avant que les choses ne tournent au vinaigre. Et que la belle entente ne se délite pour tourner au chacun pour soi dans un sauve-qui-peut. La Commission européenne est sur le coup depuis juillet et elle vient de faire ses premières perquisitions. Chez BMW.
Les rappels, dans le monde de l’automobile sont devenus légion. Voici une nouvelle fournée qui touche cette fois le constructeur automobile allemand Daimler, propriétaire notamment de Mercedes. Plus d’un million de ses véhicules vont devoir ainsi repasser par l’atelier. En cause, un problème d’airbags. Le genre de souci de coussin de sécurité qui fait tout de suite à la faillite Takata. Le blason à l’étoile serait donc à considérer comme une nouvelle victime collatérale des errements du fabricant japonais, depuis, liquidé ? Que nenni. Le souci vient bien de chez Daimler.