En ce jour de Fête Nationale, les voitures françaises sont à l'honneur sur Caradisiac, avec un top 10 des modèles qui ont marqué à leur manière l'histoire de l'industrie automobile tricolore. Un palmarès avec forcément une bonne dose de subjectivité ! À vous de nous dire dans les commentaires quelle française vous mettriez sur un piédestal.
En cette fin d'année, synonyme de fêtes de Noël et de cadeaux, nos confrères de LVA, qui publient le titre Rétroviseur, nous proposent une jolie entrée dans le monde de PSA. Une percée dans les archives de Citroën et de Peugeot (mais pas que !) avec des documents inédits retraçant la création de mythes comme la DS.
La Simca 1000, et son dérivé, le coupé 1300, furent les seuls modèles de la marque à avoir disposé d’un moteur arrière.
A l’occasion du salon 1953 Simca augmenta son offre d’utilitaires basés sur l’Aronde, en proposant un pick-up dénommé Camionnette. Elle deviendra l’Intendante à l’occasion du salon 1955 en recevant la proue des berlines à ligne Océane.
Folie des grandeurs ou simple envie d’en faire autant ?
Huit ans avant l’apparition de la 1000 Rallye, Simca avait déjà essayé de proposer une variante sportive de sa petite berline, avec l’aide d’Abarth.
Vie éphémère que celle de l’Aronde 1300 Montlhéry qui ne dura que le temps du millésime 1958.
Saviez-vous que Simca avait imaginé une forme de downsizing avant l’heure lorsqu’elle lança l’Ariane pour faire face à la crise de Suez de 1956 en plaçant un petit moteur 4 cylindres dans la carrosserie de ses Vedettes dotées jusque là d’un V8 ?
Eh bien non : ni Simca ni Talbot ne va ressortir de l’histoire de l’industrie automobile française pour devenir la marque low cost du groupe PSA Peugeot Citroën.
Le lancement de la 1100, première traction avant de Simca, permit à la marque de connaître un regain de popularité et un fort accroissement de sa production qui ne fut jamais égalé par la suite.