La nouvelle génération de Série2 Active Tourer mise sur l’hybridation mais ne délaisse pas pour autant son offre diesel. La version 18d, l’unique au catalogue, résiste et l’on comprend pourquoi.
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Dernier coupé en date de BMW, la seconde génération de Série 2 coupé est un concentré de toute la tradition de la marque bavaroise puisqu’il s’agit d’une propulsion, qui peut recevoir un six cylindres. Mais que vaut la version essence moins puissante de 180 ch, qui est aussi la plus accessible ?
Un véhicule animé par un 3 cylindres envoyant 136 ch aux roues avant peut-il porter le célèbre blason bavarois et même le M sacré allant ici avec la finition ? Et, au-delà de la sportivité et des performances que l'on est visiblement en droit d'exiger de chacune des créations munichoises, est-ce qu'un monospace, véhicule presque utilitaire, est seulement en droit d'arborer les deux haricots ? C'est à ses réponses et à bien d'autres que nous devrons répondre au terme de notre essai de ce BMW 218i Active Tourer.
Même si les SUV ont sérieusement mis à mal le segment des monospaces, certains constructeurs à l’image de BMW persistent et nous présentent aujourd’hui la nouvelle génération de Série 2 Active Tourer. Essai de la version 20i de 170 ch.
La logique voudrait que la nouvelle Série 2 coupé suive les pas de la Série 1, dont elle dérive. Autrement dit, proposer des 4 cylindres et une transmission aux roues avant. Mais chez BMW on ne l’entend pas de cette oreille. Le coupé reste fidèle à la propulsion et – vraisemblablement pour la dernière fois - à son 6 cylindres en ligne. Essai de la version M 240i.
Bien que tourné vers la mobilité électrique, BMW n’en oublie pas ses fondamentaux. La nouvelle Série 2 le prouve, elle qui, de l’aveu même de ses concepteurs, constitue un cadeau aux fans de la marque. Voilà qui annonce la couleur ! Premier essai, quelques jours après sa révélation.
Un 6 cylindres en ligne de 450 ch, un couple énorme de 550 Nm, une boîte mécanique et une propulsion, le pedigree de la M2 CS est des plus alléchants. De là à la considérer comme la meilleure BMW, il n’y a qu’un pas.
Motorisation d’entrée de gamme de la « petite » berline issue de la Série 2, cette 218I, si elle n’a pas la noblesse des motorisations BMW plus puissantes donne un avant-goût des possibilités de la marque. Reste que le concept coupé berline trouve peut-être là, ses limites et ses grands passagers arrière aussi, obligés de voyager tête baissée, ou de continuer à pied.
Comme beaucoup de constructeurs allemands, BMW multiplie les déclinaisons à souhait. Après le coupé, le cabriolet, les monospaces 5 et 7 places, voici maintenant la berline coupée, soit le cinquième modèle de la famille « 2 ». Un élargissement à outrance qui touche ici ses limites comme nous allons pu le voir au travers de l’essai de la seule version diesel : la 220d forte de 190 ch.
L’heure du restylage est arrivée pour le monospace compact allemand. De très légères retouches esthétiques, une nouvelle offre de transmission et une finition viennent enrichir prudemment l’une des meilleures ventes de BMW en Europe. Essai de la version la plus populaire en France, l’hybride rechargeable.
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