Pleine d’ambitions mais peu aidée par les dures lois de l’industrie et du marché automobile, la DS 9 porte tant bien que mal le haut de gamme français aujourd’hui. Un modèle réellement premium, abouti et convaincant, mais pour qui l’image reste à peaufiner. Et s’il y en a une autre, qui a su se frayer un chemin à l’ombre des allemandes, c’est bien la Lexus ES. La marche à suivre ?
La DS9 devient crédible, là où les françaises n’ont toujours fait que de la figuration, même si opposer des arguments dignes de ce nom aux routières allemandes reste une gageure. Sa venue au monde ne s’est pas faite sous les meilleurs auspices, mais le porte-drapeau tricolore est abouti, au point de venir inquiéter la référence en la matière : la Mercedes Classe E.
L’heure de vérité a sonné. Si DS Automobiles peut légitimement se proclamer de la caste des premiums, restait l’épreuve ultime pour quiconque entend chasser en terres allemandes. Sur le segment des routières, les teutonnes règnent sans partage. Une incursion ambitieuse pour la DS9, qui affronte une Audi A6 mieux armée dans ce combat.
Dans quelques mois, la DS9 va arriver en concessions. Le navire amiral de DS, qui représente le nouveau haut de gamme français, rencontre pour la première fois l’une de ses concurrentes directes : la BMW Série 5.
Caradisiac expose dans son salon quatre routières. Des véhicules qui évoluent sur un segment qui représente très peu de ventes, et qui est dominé de la tête et des épaules par les marques premium, allemandes en tête. Mais une petite française s'invite à la fête, la DS 9. Alors parmi les propositions présentes au salon, laquelle faut-il choisir ? Les réponses de nos experts.
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