Un véhicule électrique a généralement besoin de deux choses : d'une recharge de ses batteries, ou d'un plein d'hydrogène pour sa pile à combustible. Mais pas ce camion qui tourne dans une mine, en Suisse, où la magie de la récupération d'énergie lui permet de fonctionner presque sans être rechargé.
Le Tour de France réunit tous les critères pour la voiture électrique : des distances raisonnables (moins de 250 km), et surtout des vitesses moyennes faibles. Et si la "caravane" et les véhicules d'assistance passaient à l'électrique ? Enedis, responsable du réseau électrique en France, a testé avec deux Renault Zoe en juillet.
A coups de grandes annonces de pénurie de matières premières et d'explosion du marché des électriques, les industriels avaient prévu le coup en ouvrant de nouvelles mines de lithium dans le monde. Sauf que l'essor de l'électrique est bien moins important que prévu. Conséquence directe : le prix du lithium chute.
Le spécialiste japonais du pneu Sumitomo Rubber vient d'annoncer le développement d'un pneu dans lequel deux couches de caoutchouc jouent le rôle d'anode/cathode pour générer un petit courant électrique lorsque le pneu se déforme sur la route. Le but serait notamment d'alimenter le système de contrôle de pression.
Selon le journal économique italien "Il Sole 24 Ore", la voiture électrique demanderait 225 milliards d'euros d'investissements de la part des constructeurs automobiles d'ici 2023. Problème : la rentabilité sur ce type de véhicule est faible, voire nulle. La santé financière de nombreux constructeurs pourrait alors être menacée.
Nous vous en parlions en début d'année, le "retrofit", la technique qui consiste à adapter des batteries et un moteur électrique sur un véhicule à l'origine thermique, est inexistante en France, la faute aux trop nombreuses règlementations. Et si cela venait à changer ?
Le plus gros marché mondial de la voiture électrique à batteries a décidé de s'intéresser au problème de la sécurité de ces véhicules, et plus particulièrement des problèmes d'incendie, après les quelques cas répertoriés récemment.
Le ministre allemand de l'Energie et des affaires économiques, Peter Altmaier, a confirmé que le gouvernement allemand allait subventionner trois projets de batteries européennes. Les noms des heureux élus ne sont pas encore connus.
La mobilité électrique passera par plusieurs sites chez PSA : moteurs à Tremery, et batteries à Trnava, en Slovaquie. Le groupe français y assemblera les packs, mais ne produira pas de batteries à proprement parler, comme la plupart des concurrents européens.
Le cobalt est un élément essentiel, à l'heure actuelle, des batteries de voitures électriques. Problème : les ressources ne sont pas illimitées, et un groupe de scientifiques a écrit une lettre au Comité britannique pour le changement du climat pour prévenir d'un revirement trop brusque de l'automobile vers l'électrique.