Avec 11 millions de trajets répertoriés l’an dernier en France, le covoiturage, dont le principal acteur est la société française BlaBlaCar, peut être considéré comme un véritable phénomène de société. Au-delà, faut-il y voir les prémisses d’un bouleversement durable des modes de transport ?
L’usage fait de la voiture change. Autrefois conquête mécanique d’une liberté individuelle conjuguée avec l’affirmation d’un statut social, l’automobile glisse doucement mais sûrement vers un objet de consommation lambda à utilité de déplacement circonscrite. Une philosophie matérialisée par le phénomène du covoiturage. Mais ce n’est pas qu’une mode. Sa généralisation annoncée pourrait même faire mal à toute l’industrie automobile.
Une grève des transports n'est jamais une bonne nouvelle. Sauf pour les acteurs des nouvelles formes de mobilité, et notamment les sites de covoiturage.
Moyen de déplacement encouragé par le gouvernement mais également de nombreuses municipalités, le covoiturage a désormais droit à une signalisation particulière. Caradisiac vous la présente.
BlaBlaCar, Airbnb, Le Bon Coin... Et si le beurre dans les épinards du contribuable était sur le point d'être taxé ?
Cet été, j'ai eu la drôle d'impression d'assister à un moment historique : un épisode de La bataille du rail. Du rail contre la route. D'après ce que j'ai vu, "à ce train-là", on pourra bientôt recycler les locos pour en faire des voitures et des autocars.
Investir en Chine en ce moment, d’aucuns vous diront que c’est gonflé. Justement, c’est la posture dont se délecte notre Bibendum Michelin qui, malgré les dérapages industriels et boursiers de l’empire du milieu continue à y mettre la gomme. Et pas seulement dans ce qui constitue son cœur de métier. Ainsi, l’Auvergnat a décidé de faire un bout de chemin avec l’enseigne Luli qui, et, pour le coup, c’est idoine, est spécialisée dans le covoiturage.
Selon une étude publiée hier mardi, 63% des Français utilisent leur véhicule personnel pour aller travailler. A titre de comparaison, seuls 18% s'y rendent en transports en commun. En revanche, les proportions s'inversent en région
Cette semaine, un nouveau service de covoiturage baptisé « RideWith » devrait être testé en Israël. Et pour cause : pour construire cette nouvelle application, Google s'est appuyé sur l'application israélienne Waze.
D'après une étude, 80% des conducteurs inscrits sur BlaBlaCar estiment que le covoiturage les incite à mieux respecter le code de la route.