Un accident de la route, ce n’est jamais anodin, mais il en est qui sont plus exceptionnels que d’autres. C’est le cas de celui-ci qui se termine bien. Et pourtant, la victime, seule au volant, a été retrouvée 72 h 00 après les faits dans son véhicule aperçu par chance par un cycliste en contrebas de la route. Elle était recherchée par 70 gendarmes.
Des experts véreux qui remettent en circulation des véhicules accidentés sans en avoir vérifié les réparations, ce n’est pas un fait nouveau mais c’est aussi une situation qui se fait de moins en moins rare. La preuve avec cette nouvelle affaire qui touche encore une région parisienne qui envoie sur les routes de France des tombeaux roulants qu’il faut ensuite retrouver pour les mettre hors circulation. Au grand dam des victimes qui ont du mal à se consoler d’avoir échappé à un pire drame que celui d'un préjudice économique.
Dans le monde des affaires judiciaires, il est des investigations qui peuvent tomber à l’eau au grand regret des enquêteurs qui détestent rester secs sur le sujet. Mais le temps fait son œuvre, et, dans ce cas, c’est au sens propre comme au figuré qu’il faut l’entendre. Voici l’histoire d’une Peugeot 104 achetée neuve et dérobée à son propriétaire qui, 38 ans après, récupère le même modèle devenu depuis Youngtimer. Enfin, il faudra quand même faire quelques travaux pour être digne de la classification…
Sur les autoroutes, lorsque l’on parle de vitesse, on pense immédiatement à l’excès avec les amendes et les pertes de points sur le permis qui vont avec. Mais on oublie trop souvent que rouler trop lentement sur le grand ruban c’est aussi une infraction. Le seuil minimum autorisé par la loi est de 80 km/h. Alors lorsque l’on circule à 15 km/h, on se fait forcément remarquer. Surtout avec un poids lourd…
Pour retrouver sa voiture volée, parfois, il ne faut pas aller chercher bien loin. Il suffit par exemple de rouler sur une autoroute et attendre de se laisser dépasser par son bien dérobé. Une fois fait, lancer les forces de l’ordre à sa poursuite et laisser mitonner quelques minutes et servez chaud. Une situation vécue par une automobiliste du l’autoroute A40 près de Neuville sur Ain.
Le GIGN a annoncé sur sa page Facebook avoir récupéré un Cayenne qui avait été saisi. De quoi profiter d'un bolide d'intervention spacieux et rapide !
Depuis le 1er janvier 2017 le niveau d’opacité des vitres teintées est un réel sujet du quotidien pour les automobilistes qui ont un véhicule ainsi équipé. Car ils risquent une amende de la part des forces de l’ordre au cours d’un contrôle routier. Certes, mais entre la théorie et la pratique, il y a toujours une distance et celle-ci semblait jusque-là difficile à combler. Car les mêmes policiers et gendarmes n’avaient apparemment pas les moyens techniques d’appliquer une mesure exigeant une certaine transparence des vitres. Mais ça, c’était avant. La preuve avec la gendarmerie des Vosges.
C’est un fait divers qui pose question dans une époque où l’on veut nous convaincre qu’une automatisation générale des contrôles et des procédures est la panacée pour la sécurité routière. À la lumière de ce qui va suivre il semblerait bien que non, tandis que l’on comprend aussi que payer son infraction ne pousse pas les autorités à aller chercher plus loin. La fiscalité routière existerait donc bel et bien. Enfin, rien ne vaut un bon contrôle routier humain pour en finir avec ce genre de situation. Ce qui ne rassure pas à l’heure où l’on sacralise les radars automatiques, fixes ou mobiles.
Suite à plusieurs comportements dangereux, une monitrice d'auto-école a indiqué à son élève le chemin de la gendarmerie. L'apprenti avait consommé du cannabis quelques heures avant la leçon.
Certains restent sourds aux nombreux appels à la prudence en cette période où les routes sont chargées. Des gendarmes ont ainsi mis plusieurs dizaines de kilomètres, en roulant jusqu'à 200 km/h, pour rattraper un chauffard qui les avait doublés.