Testée en version 2.0 TDI 140, soit la version la plus diffusée dans l’Hexagone, l’Eos nous agréablement surpris pas son niveau de confort. A défaut d’être aussi sportif et mélodieux que son homologue essence, ce quatre-cylindres flatte son propriétaire par ses niveaux de consommation très bas (6,2 l/100 km relevée par nos soins) et son immunité au malus écologique. Dans l’ensemble le 2.0 TDi est assez disponible et réactif pour emmener les 1600 kg de l’Eos au-delà de la vitesse autorisée. La boite de vitesses mécanique affiche quant à elle un étagement volontaire long. Ceci pour des questions de rejets. Et si voguer cheveux au vent au son d’un diesel peut freiner l’ardeur de certain, sachez que ce 2.0 TDi se montre relativement discret. Le 2.0 TSi (210 ch) , prisé outre-Rhin, colle toutefois d’avantage à la philosophie de l’Eos. Celle du véhicule plaisir.
A défaut d'être sportive l'Eos délivre un confort général en net progrès
Si les trains roulants de l’Eos n’ont fait l’objet d’aucune évolution, nous avons pourtant constaté une nette amélioration du confort. Le filtrage des suspensions combiné au moelleux des sièges font de l’Eos un véhicule taillé pour la ballade. Le châssis Sport proposé dès le niveau Sportline, apporte un équilibre supplémentaire à la voiture. On regrettera, les nombreux bruits d’air, mal compensés en mode coupé. Pour le reste l’Eos reste un coupé cabriolet confortable et « spacieux » pour son gabarit.
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