Ce fromager de métier s'est mis en quête d'une auto plaisir, qui soit fiable et pas trop cher. Son choix s'est porté sur le roadster japonais le plus vendu au monde. Sauf qu'il n'y a, en France, que 9 MX5 comme la sienne.
Les 4x4 purs et durs sont aujourd'hui affichés à des prix inaccessibles. Joël a trouvé la solution : elle est russe et s'appelle Lada Niva. Il s'est offert un modèle 2008, au GPL, qu'il a payé 5 000 euros et qui ne totalisait que 60 000 km au moment de son achat. Depuis, il n'a rencontré aucun problème pour trouver les pièces nécessaires, et en grand bricoleur, il a transformé son coffre en une immense boîte à outils.
Propriétaire d'une Mercedes Classe A 170 CDI de 2002 et 140 000 km, Laurence découvre le modèle actuel, en l'occurrence, une Mercedes Classe A 200d AMG Line de 2022. Mais en deux décennies, le minimonospace a grandi d'un mètre pour devenir une compacte.
Il est tombé amoureux du coupé Ford et s'est offert une version S de 2 000 dont il est ravi. Mais aujourd'hui, Cédric découvre le nouveau Puma qui, de coupé, est devenu SUV urbain. Même s'il trouve que la nouvelle mouture est pétrie de qualités, son cœur est toujours pris par son "karting", symbole du plaisir à petit prix.
Rouler dans une auto exclusive sans se ruiner. Xavier a trouvé la formule. L'expert en immobilier s'est offert une Volkswagen Phaeton V8. Au menu : 335 ch, sièges massants, sono Dynaudio pour 17 000 euros.
La transformation, c'est son truc. N'en déplaise aux puristes du dernier coupé Peugeot en date, Reynald n'a pas hésité à changer la face avant, les suspensions, les jantes et l'habitacle de sa RCZ. Un investissement de 15 000 euros en plus du prix de la voiture que son propriétaire estime en pure perte. Mais lorsque l'on aime, on ne rentabilise pas.
Habitant de l'Oise, le jeune homme est fan de sportives japonaises depuis toujours. Alors il s’est mis en quête du top du genre : une Mitsubishi Lancer Evo. il a choisi le dernier modèle avant que le constructeur n'en stoppe la fabrication : la dixième du nom.
C'est sa voiture principale depuis 2015 : une Citroën C6 V6 dans un état exceptionnel et dont il se sert chaque jour. Aujourd'hui, Philippe découvre la nouvelle grande berline des chevrons. Mais s'il trouve des qualités à la C5X, il regrette le confort de son auto, et la meilleure visibilité qu'elle offre.
Il a découvert avec étonnement la grande Renault lors de son lancement en 2002. 19 ans après, Daniel a fini par acheter le modèle qui l'avait tant bluffé. Il a craqué pour une VelSatis V6 essence de 2005.
Cet épicier-garagiste des Cévennes a choisi un break Passat de 2006 en parfait état, négocié à 4 000 euros. Mais aujourd’hui, Fred découvre la Volkswagen Arteon Shooting Brake. S'il reconnaît de nombreuses qualités à cette auto très récente, cet amoureux des anciennes préfère les voitures à l'électronique moins complexe.