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Free2Move, la filiale « mobilités » de Stellantis rachète Share Now, un des leadeurs européens de l’autopartage, en difficultés. Le but sera de se constituer un portefeuille de 15 millions de clients d’ici 2030 pour devenir le géant du secteur.

Si les 110 km/h apparaissent trop sévères, les 120 km/h pourraient-ils représenter un compromis acceptable?

Les experts de l'UE sont en train de se pencher sur l'homologation des PHEV et leur excellent score en matière d'émission de C02. Il ne serait pas assez réaliste selon eux et pourrait bien être revu à la hausse dans les prochains mois. Un coup d'arrêt au bonus de 1 000 euros et à l'exemption des taxes pour les entreprises ? Explications.

Coût des voitures, du carburant, de l'assurance et des péages: attachez vos ceintures, l'automobile traverse une zone de fortes turbulences. Et cela va durer.

Certes, les ventes de la marque sont en baisse de 12 % au premier semestre de cette année par rapport à l'an passé. Pourtant, les hommes du losange ont le sourire, car la stratégie mise en place semble porter ses fruits. Décryptage d'une politique ciblant les particuliers plutôt que les entreprises, et les modèles à forte marge plutôt que le volume.

Face à l'inflation généralisée, le gouvernement souhaite amener les sociétés d'autoroutes à abaisser leurs tarifs durant les vacances d'été.

L’aide pourra grimper jusqu’à 300 € en fonction des revenus du foyer et de la distance quotidienne entre le domicile et le lieu de travail.

Leur syndicat a fait ses comptes. D'ici 2030, les affaires des équipementiers, du moins celles qui concernent les pièces de rechange, seront plutôt satisfaisantes. Et même dans le cas d'une hypothèse ou dans 8 ans, 40 % des voitures vendues seraient électriques, ils pourraient bien engranger 14 milliards de chiffres d'affaires d'ici-là et même bien au-delà.

Avec les confinements chinois et les difficultés d'approvisionnement, le constructeur américain connaît des turbulences. Son patron Elon Musk avoue que ses deux nouvelles usines, à Austin au Texas et à Berlin en Allemagne, lui coûtent des milliards et il a décidé de licencier 3 500 salariés. Une inquiétude réelle ou un signal envoyé aux marchés ?