La décision d'en finir avec les voitures thermiques en 2035 est un long parcours. Mais il ne semble pas semé d'embûches. Après sa validation par les députés de la commission transports à Bruxelles, une nouvelle étape a été franchie hier, avec l'acceptation du principal pays producteur de voitures : l'Allemagne.
Le groupe né de la fusion entre PSA et Fiat veut se développer sur ce marché à fort potentiel. Il va miser sur Citroën et Jeep.
Le ministre des Transports quitte la politique et rejoint une start-up spécialisée dans les voitures à hydrogène : polémique justifiée ou tempête dans un verre d’eau ?
Selon une étude publiée ce lundi, plus de 6 automobilistes sur 10 ne voient pas comment réduire leur budget auto. Des solutions faciles à mettre en oeuvre existent pourtant.
Après deux ans de disette, Nissan gagne à nouveau de l'argent. Mais la bonne nouvelle pourrait ne pas durer en raison des difficultés d'approvisionnement, du contexte chinois et de l'avenir de l'Alliance qui se joue ces jours-ci autour de la scission annoncée du groupe Renault.
Ces chiffres menaçants ont été lancés en début de semaine par les principaux dirigeants de la filière hexagonale réunis par le Financial Times. En cause, selon eux, les difficultés liées à la marche forcée vers l’électrique. Mais d’autres phénomènes peuvent également expliquer cette vision ultra-pessimiste de l’avenir automobile
David Durand monte en grade chez Dacia, devenant le directeur du design de la marque. Il succède à Miles Nürnberger, resté à ce poste un an.
Les ventes de modèles 100% électriques font preuve d'un beau dynamisme en Europe, tandis que celles des modèles hybides rechargeables sont en repli. Est-ce déjà le début de la fin pour cette technologie?
Auto-boulot-bobo: alors que la route représente le premier facteur de risque au travail, une étude IFOP pour MMA montre que 82% des salariés adoptent encore une conduite à risque.
Entre la valse des PDG, les pertes financières et les mauvais résultats de l'écurie de Formule 1, la marque anglaise s'enfonce dans la crise. Son propriétaire, le milliardaire canadien Lawrence Stroll vient de nommer un nouveau patron pour tenter de sauver le constructeur. À 76 ans, l'ancien directeur-général de Ferrari Amadeo Felisa réussira-t-il à éviter le pire ?