Opel Insignia Sports Tourer : les premières images de l'essai en live et impressions de conduite
Olivier Pagès , mis à jour
Opel continue de déployer sa gamme Insignia. Après la berline, voici maintenant le Sports Tourer, comprenez par là le break. Découvrez ci-dessous les premières images de l'essai que nous allons réaliser dans la région d'Avignon.
Le segment des breaks familiaux n'est clairement pas celui qui est le plus en forme en ce moment mais il bénéficie régulièrement de nouveautés. Les principaux acteurs sont la Renault Talisman Estate, la Skoda Superb Combi, la Volkswagen Passat SW et la Ford Mondeo SW. Opel revient donc aux affaires avec la nouvelle Insignia Sports Tourer avec une génération inédite plutôt réussie esthétiquement.
Vidéo tournée en direct le 5 septembre 2017.
Au-delà de son look, cette Insignia s'affirme tout d'abord comme le break le plus imposant de sa catégorie avec une longueur qui frole les 5 m (4,99 m) soit une dizaine de centimètres de plus la concurrence mais également que la berline. Malgré des dimensions conséquentes, on constate, malheureusement, que cela ne profite pas au coffre qui doit se contenter d'un volume de chargement oscillant entre 560 et 1 665 litres, ce qui est dans la moyenne du segment. Espérons que l'habitabilité soit plus généreuse.
La présentation est classique pour Opel et donc identique à la berline.
L'offre moteur se compose en essence d'une palette allant de 140 à 250 ch. En diesel, les blocs 1.6 et 2.0 CDTI s’étaleront de 110 à 170 ch. Certaines versions profiteront d'une transmission intégrale et d'une boîte de vitesses automatique à huit rapports.
Pour ce premier essai en Provence, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus, nous avons choisi une version haut de gamme Elite animée par un 2.0 CDTi de 170 ch couplée à la boîte automatique à 8 rapports.
Les premières photos
Les premières impressions de conduite
Pour ce premier essai, nous avons eu entre les mains, le moteur diesel le plus puissant à savoir le 2.0 CDTi 170 ch couplé pour l'occasion à la boîte automatique à 8 rapports, qui est inédite chez Opel. Un mariage qui nous a laissé un peu sur notre faim. Avec 400 Nm de couple, ce moteur diesel censé ne pas manquer de reprises, malheureusement, celles-ci sont un peu diluées par les rapports longs de la transmission. Il faudra composer également avec une sonorité un peu trop importante.
Impressions mitigées également concernant le comportement, clairement axé sur le confort comme nous l'avions déjà signalé lors de l'essai de la berline. En soit, ce n'est pas un problème mais l'agrément des passagers est altéré par des mouvements de caisse et des pompages importants, qui ont tendance à se multiplier lors des enchainements de virages.
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