Toyota C-HR: stylée - Vidéo en direct du Mondial de Paris 2016
Dans le flot des nouveaux SUV, un style fort est un bon moyen de se démarquer. C'est l'approche adoptée par Toyota pour son C-HR, à l'apparence résolument sportive. Mais sous le capot, il la joue plus écolo.
Depuis 1994 et la présentation du premier Rav4, Toyota a su démontrer qu'il était possible de dessiner des 4x4 au style surprenant. Le Japonais en apporte une nouvelle illustration avec le C-HR, acronyme de "Coupé High Rider", modèle compact qui fera son apparition sur nos routes à l'automne.
Son atout principal est un style fort, on l'a dit, avec des ailes hypertrophiées, une ligne de caisse plongeante et des détails de style empruntant à l'univers de la bande dessinée. L'analogie avec la Nissan Juke apparaît ici évidente, même si les deux voitures n'appartiennent pas à la même catégorie: 22 cm les séparent en effet en longueur (soit 4,36 m pour le C-HR). Toutefois, cela ne profite guère au volume de chargement du C-HR, lequel s'établit à 377 litres, soit seulement 23 litres de mieux que le Juke.
Pas de motorisation diesel au programme, mais les clients ont le choix entre un bloc essence 1.2 turbo développant 116 ch (couple de 185 Nm, boîte manuelle et transmission aux roues avant, ou automatique type CVT et transmission intégrale) et le très sobre bloc 1.8 hybride (122 ch) animant la Prius de quatrième génération. Précisons au passage que depuis le début de l'année, 51% des clients français de Toyota optent pour des motorisations hybrides.
La gamme de prix du C-HR démarre à 22 900 €, et il est d'ores et déjà possible d'en passer commande dans le réseau Toyota. Caradisiac vous proposera un premier essai de l'auto au début du mois de novembre.
L'instant Caradisiac: la loi de la course
Sur le stand Toyota sont aussi exposées des modèles de course, et notamment l'une des voitures engagées en championnat du monde d'endurance. On se souvient alors de la triste mésaventure survenue lors des dernières 24 Heures du Mans (abandon du Japonais à quelques minutes de la fin de la course alors que la victoire lui était promise, au profit de Porsche qui signait là une victoire inespérée) . Et à quelques mètres de là, dans le même hall, se trouve justement le stand Porsche, qui avait salué son adversaire malheureux avec une belle élégance après la course. L'automobile, c'est aussi de l'émotion.
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