La gamme de motorisations diesel a été entièrement renouvelée. Le Touran abrite désormais des TDI à rampe commune, mieux insonorisés et moins gourmands en carburant.
Le 1.6 TDI qui continue donc son déploiement dans le groupe devrait représenter l’essentiel des ventes. La version 105 ch, que nous avons testée (très) brièvement apparaît comme le meilleur compromis prix/prestations, en diesel. Silencieux, généreux dans le haut du compteur, il est bien mieux exploité lorsqu’il est accouplé à l’excellente boite DSG7. Il se révèle d’ailleurs sobre comme un moineau (6l/100 km) et plutôt citoyen (132g de CO2, neutre au malus). Nul doute que cette version devrait séduire la confrérie des Taxis et autres flottes destinées aux transports de personnes. Pour terminer, précisons que cette définition précise est disponible en BlueMotion (4,6l/100 km et 121 g de CO2. Soit 200 € de Bonus).
VW rénove son entrée de gamme avec le 1.2 TSI. Un petit moteur plein d’énergie qui supporte aisément les 1500 kg du monospace. Secondé par une boite mécanique à 6 rapports aux rapports fluides, ce petit diable de TSI ne paraît jamais en difficulté. Gageons qu’avec 7 personnes à bord, le petit 4 cylindres devrait tirer un peu plus la langue. Auquel cas VW propose le 1.4 TSi en deux niveaux de puissance (140 ch et 170 ch).
Compte tenu de la faible diversité de notre parcours, constitué essentiellement d’autoroute, nous n’avons pas constaté de flagrantes évolutions par rapport au Touran actuel. Volkswgen indique l’apparition d’un nouvel essieu censé augmenter la stabilité et la filtration. Ferme de nature, le monospace allemand a le mérite de s’adoucir avec la suspension pilotée DCC.
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