La transformation, c'est son truc. N'en déplaise aux puristes du dernier coupé Peugeot en date, Reynald n'a pas hésité à changer la face avant, les suspensions, les jantes et l'habitacle de sa RCZ. Un investissement de 15 000 euros en plus du prix de la voiture que son propriétaire estime en pure perte. Mais lorsque l'on aime, on ne rentabilise pas.
Michel Holtz
Lui écrireAlors que la transition vers l'électrique en 2035 est en passe d'être validée, les constructeurs doivent faire face à une autre embûche, la norme Euro 7, qui doit être votée d'ici peu. Au programme : la réduction de moitié des normes de pollution et le risque de ne plus pouvoir homologuer que des moteurs hybrides rechargeables dès 2025 ou 2028. Des modèles dont les tarifs peuvent être trop élevés pour le commun des mortels.
Désormais seulement disponible en finition Cross, l'Italienne populaire se dote d'une hybridation légère légèrement différente des autres. Elle n'en sort pas transfigurée, mais se permet des tarifs qui l'éloignent de son positionnement de départ : offrir l'essentiel pour pas très cher.
La décision d'en finir avec les voitures thermiques en 2035 est un long parcours. Mais il ne semble pas semé d'embûches. Après sa validation par les députés de la commission transports à Bruxelles, une nouvelle étape a été franchie hier, avec l'acceptation du principal pays producteur de voitures : l'Allemagne.
La bascule presque inéluctable du vieux continent vers la voiture électrique en 2035 sonne le glas de l'automobile en Europe selon certains. Et si, bien au contraire, elle marquait le début d'une nouvelle ère qui pourrait attirer vers nous tous les constructeurs de la planète ? En commençant par General Motors qui entend bien revenir, 5 ans après son départ.
S'il n'est pas un cinéaste d'art et d'essai, le réalisateur américain aura au moins inventé un genre : le "bayhem", contraction de "Bay" et de "mayhem" (chaos). Dans son dernier film, Ambulance, Michael Bay ne déroge pas à sa marotte : la destruction de voitures. Dans une interview, il revendique même le record en la matière.
Habitant de l'Oise, le jeune homme est fan de sportives japonaises depuis toujours. Alors il s’est mis en quête du top du genre : une Mitsubishi Lancer Evo. il a choisi le dernier modèle avant que le constructeur n'en stoppe la fabrication : la dixième du nom.
Après huit de bons et loyaux services, le respectable SUV urbain italien se permet enfin d'offrir une motorisation hybride, ou plutôt légèrement hybridée. Mais si les émissions de C02 sont à la baisse, les sensations de conduite sont-elles à la hausse ? Réponses.
Après deux ans de disette, Nissan gagne à nouveau de l'argent. Mais la bonne nouvelle pourrait ne pas durer en raison des difficultés d'approvisionnement, du contexte chinois et de l'avenir de l'Alliance qui se joue ces jours-ci autour de la scission annoncée du groupe Renault.
Ces chiffres menaçants ont été lancés en début de semaine par les principaux dirigeants de la filière hexagonale réunis par le Financial Times. En cause, selon eux, les difficultés liées à la marche forcée vers l’électrique. Mais d’autres phénomènes peuvent également expliquer cette vision ultra-pessimiste de l’avenir automobile